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L’équipe fondatrice

La Fondation Agir pour les Enfants a été co-fondée en 2014 par Gilles Quéru, Anne-Laure Mazin et Enrica Rosato.

Gilles Quéru
Fondateur

Anne-Laure Mazin
Directrice

Enrica Rosato
Responsable Projets

De formation ingénieur, Gilles  est un entrepreneur dans l’âme.  Depuis 30 ans, il a créé aux Etats-Unis et en Europe plusieurs sociétés de haute technologie dans le domaine du logiciel, d’internet et de l’immobilier, qui ont connu un fort succès. Il a aussi lancé une société de capital investissement pour soutenir les startups prometteuses. En 2014, il a souhaité créer la Fondation pour aider les plus démunis.
Gilles est basé en Suisse.

Diplômée en Relations Internationales et en Marketing, Anne-Laure a plus de 20 ans d’expérience dans le secteur technologique où elle a occupé des postes  de Direction marketing.
En 2012, elle a souhaité contribuer à aider les personnes défavorisées et a quitté ses fonctions pour s’y consacrer.
En 2014, après un Master 2 d’économie en « analyse de projet et développement durable », elle a co-fondé la Fondation.
Anne-Laure est basée en France.

Diplômée en Droit et en Gestion de projets solidaires, Enrica a plus de 20 ans d’expérience dans le domaine humanitaire. Elle a travaillé pour plusieurs grandes ONG en tant que gestionnaire et coordinatrice de projets d’abord en Amérique du sud puis en Afrique de l’ouest. Enrica a notamment piloté de grands projets de droits humains, sanitaires et éducatifs et dirigé pendant de nombreuses années une Fondation italienne.
 Enrica est basée en Italie.

La Fondation  s’appuie également sur des fonctions support, notamment en comptabilité et administration, avec l’aide précieuse de Delphine.

Organisation opérationnelle

Pour mettre en œuvre les projets et gérer les activités, la Fondation s’appuie sur une organisation inchangée depuis sa création :

  • Direction de la Fondation : Anne-Laure Mazin
  • Direction des projets : Enrica Rosato
  • Direction administrative : Delphine Bachelier 

 

L’enfance au Burkina L’enfance au Burkina

Des problèmes de santé multiples

Le niveau de mortalité infanto juvénile est un des plus élevés au monde même s’il diminue régulièrement grâce aux politiques publiques et à l’aide internationale.

Les enfants souffrent de différentes maladies comme le paludisme, les maladies respiratoires aigues, la diarrhée, la rougeole, la malnutrition… Enfin, le manque d’hygiène et de structures médicales dans certaines régions favorisent également les problèmes de santé des enfants.

Education

De nombreux efforts ont été faits par le Burkina Faso en faveur de l’éducation. Toutefois, si le taux brut de scolarisation est de 94% en primaire, il n’est que de 5% en préscolaire et chute à 40% au post-primaire. De plus, les infrastructures sont insuffisantes et les classes surchargées.

L’accès à l’eau encore insuffisant

Dans les zones rurales et en périphérie des grandes villes, les difficultés d’accès à l’eau (insuffisante, non potable) entraînent différents problèmes de santé et contribuent au manque d’hygiène.

Etat civil

L’enregistrement de la naissance d’un enfant à l’état civil le rend légalement membre d’une famille, lui confère un nationalité ainsi que le droit d’être protégé par l’état quand la protection des parents fait défaut. Si on constate aujourd’hui que dans 77% des cas, la naissance des enfants de moins de 5 ans a été déclarée à l’état civil, seulement 52% disposent d’un acte de naissance.

De nombreux enfants orphelins

Globalement 7% des enfants de moins de 18 ans sont orphelins de père et/ou de mère. Le nombre d’orphelinats publics étant insuffisant, il s’agit souvent d’orphelinats issus d’associations, en particulier locales ; leurs moyens de subsistance sont réduits et ils sont très dépendants des dons pour leur survie.

Travail des enfants

Près d’un enfant sur deux est contraint de travailler pour subvenir aux besoins de sa famille. Cela va du petit travail domestique au travail dans les plantations, dans les mines d’or ou, pour les filles, en tant que domestique, dans des conditions d’extrême pénibilité. On compte environ 10 000 enfants exploités dans les mines au Burkina Faso.

Enfants en situation de rues

On compte environ 8000 enfants des rues à Ouagadougou. La misère, le rejet familial, le rêve d’obtenir un emploi en ville, etc … expliquent en partie cette situation. Les garçons vivent de la mendicité et la plupart dort dans la rue. Pour les filles, la situation est encore plus difficile, la prostitution étant souvent la seule façon de subvenir à leurs besoins.